Sur l’organisation de la recherche et ses effets sur l’environnement
Aujourd’hui, quel que soit le secteur socio-professionnel dans lequel on se situe, on ne peut faire l’économie d’une interrogation d’ordre écologique sur les pratiques des usagers et sur les politiques publiques qui les conditionnent. Il est désormais admis que le monde de la recherche et de l’enseignement supérieur, de par sa spécificité, participe malheureusement à la dégradation de l’environnement et au dérèglement climatique, au-delà du particularisme des différentes disciplines qui le composent. En particulier, les professionnels de la recherche académique sont amenés à se déplacer fréquemment dans le cadre des coopérations nationales ou internationales avec d’autres chercheurs, ainsi que dans le cadre de la diffusion et du rayonnement au travers des nombreux colloques ou invitations organisés chaque année.
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